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101 _afre
200 _aLes syndicats dans les chemins de fer en France, 1890 - 1910
_bBrochure
_fElie Fruit
210 _aParis
_cLes éditions ouvrières
_d1976
215 _a216 p.
_c[4] p. de pl.
_d21 cm
300 _aBibliogr. Index
330 _aL'histoire vivante de la création et du développement des premiers syndicats de Cheminots, jusqu'à la grève « de la thune » de 1910. « Durant les vingt années qui vont de 1890 à 1910, Élie Fruit décrit - sans élever le ton, mais avec grande force - ce que les frères Bonnef ont appelé « la vie tragique des travailleurs ». Pour ceux du rail, c'est le temps du patronat de droit divin, des journées de travail de douze à quinze heures, des salaires dérisoires au bas de l'échelle, de la réforme et non de la retraite, comme pour les vieux chevaux dans les régiments de cavalerie... « Sur un autre plan, plus général, se trouvent soulignés nombre de problèmes d'un permanent intérêt : celui du caractère réformiste ou révolutionnaire des luttes, dans la mesure où il est justifié de simplifier ainsi le débat, celui aussi de l'opposition entre l'action syndicaliste, économique et l'action parlementaire, politique et, là encore, on peut se demander s'il n'y aurait pas lieu de parler de complémentarité plutôt que d'opposition, celui enfin - et je suis loin d'épuiser la variété des questions soulevées - de stratégie syndicale, qui doit tenir compte et des majorités - souvent passives - et des affrontements entre les deux minorités patronale et syndicale, dominante et opposante... » . Jean Maitron (extrait de la préf. de l'ouvrage) [4e de couv.]
606 _9146
_aSyndicalisme
606 _9488
_aTransports publics
607 _9521
_aFrance
700 _93608
_aFruit
_bÉlie
_f1922-2007
702 _93593
_aMaitron
_bJean
_f1910-1987
801 _aCH
_bCH-002049-8