000 | 01861nam 2200181 4500 | ||
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001 | 2243 | ||
010 | _a2-940146-13-6 | ||
090 | _a2243 | ||
100 | _a20190729k u||y0frey50 ba | ||
101 | _afre | ||
200 |
_aL'ombre rouge _bBrochure _eSuisse-URSS 1943-1944, le débat politique en Suisse _fSophie Pavillon |
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210 |
_aLausanne _cAntipodes | Société d'histoire de la Suisse romande _d1999 |
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215 |
_a324 p. _d21 cm |
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225 |
_aHistoire et société contemporaines _v20/1999 |
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300 | _aBibliogr. | ||
330 | _aAu moment où la bataille de Stalingrad fait basculer la Seconde Guerre mondiale en laissant entrevoir l'imminence d'une victoire des Alliés sur l'Axe, un grand débat s'ouvre en Suisse à propos de l'URSS. Il s'agit de réexaminer les relations entre l'État fédéral et l'Union soviétique à la lumière des récents événements. Des milieux de plus en plus larges réclament un établissement de relations officielles avec l'URSS, que ce soit pour inscrire la Suisse dans les relations internationales issues de la guerre ou pour ouvrir à l'économie helvétique le grand marché russe. Dès lors, le régime autoritaire stalinien est évalué en fonction de ces enjeux; la dénonciation des crimes du stalinisme s'en trouve réduite à la portion congrue. Le gouvernement de Staline refuse d'établir des relations diplomatiques avec la Suisse, en novembre 1944. Traitée de " profasciste " par les médias soviétiques, puis par une partie substantielle des médias internationaux, la politique du gouvernement suisse pendant la guerre est sévèrement critiquée. Après quelques escarmouches entre la gauche et les partis bourgeois, un front uni se soude en Suisse, pour veiller à ce que le pays sorte de son isolement international aussi rapidement que possible. [4e de couv.] | ||
700 |
_93263 _aPavillon _bSophie |
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801 |
_aCH _bCH-002049-8 |