La chrysalide [Brochure] / Aïcha Lemsine : chroniques algériennes
Langue : français.Publication : [Paris] : Des Femmes, 1978Description : 285 p. : couv. ill. ; 18 cmISBN : 2-7210-0129-9.Collection: Collection Pour chacune, 23Résumé : Dans la maison de Si-Mokrane, la tradition musulmane est toute-puissante : sorcellerie et fatalisme règlent la vie quotidienne, sanctionnent tout manquement à l’ordre immuable qui garde les femmes cloîtrées et assujetties à la loi du patriarche. Khadidja – donnée en mariage à Si-Mokrane pour sceller la vieille amitié de leurs pères – se rebelle, refuse les tatouages comme les croyances ancestrales, se fait accoucher d’un fils par la doctoresse blanche du village ; elle insufflera ses forces et sa révolte aux autres épouses, à leurs enfants, à Mouloud, à Faïza. D’abord lointaine, la guerre devient une réalité pour le village : couvre-feu, menaces… jusqu’à l’indépendance : les frontières s’ouvrent, celles du village, celles du pays, celles de la famille. Une génération après, la rébellion de Khadidja revit en Faïza. Elle fait ses études, rejette les traditions ; pour elle : « le village, c’est fini ». [www.desfemmes.fr].Sujet - Nom commun: Féminisme | Condition féminine Sujet - Nom géographique: Algérie Sujet - Forme: BiographieType de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres |
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Archives contestataires
Association Archives contestataires infos@archivescontestataires.ch Lien vers les inventaires des fonds d'archives |
MLF | R 1304 | Prêt restreint | 5656 |
Dans la maison de Si-Mokrane, la tradition musulmane est toute-puissante : sorcellerie et fatalisme règlent la vie quotidienne, sanctionnent tout manquement à l’ordre immuable qui garde les femmes cloîtrées et assujetties à la loi du patriarche.
Khadidja – donnée en mariage à Si-Mokrane pour sceller la vieille amitié de leurs pères – se rebelle, refuse les tatouages comme les croyances ancestrales, se fait accoucher d’un fils par la doctoresse blanche du village ; elle insufflera ses forces et sa révolte aux autres épouses, à leurs enfants, à Mouloud, à Faïza.
D’abord lointaine, la guerre devient une réalité pour le village : couvre-feu, menaces… jusqu’à l’indépendance : les frontières s’ouvrent, celles du village, celles du pays, celles de la famille.
Une génération après, la rébellion de Khadidja revit en Faïza. Elle fait ses études, rejette les traditions ; pour elle : « le village, c’est fini ». [www.desfemmes.fr]
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