Pierre Monatte, une autre voix du syndicalisme [Brochure] / Colette Chambellan
Langue : français.Publication : Paris : Les Editions ouvrières, 1999Description : 191 p. : ill. ; 23 cmISBN : 2-7082-3460-9.Collection: La part des hommesNote générale : Bibliogr.Résumé : Pierre Monatte (1881-1960) occupe une place à part dans le mouvement ouvrier français. Ce fils d'un maréchal-ferrant de la Haute-Loire, pion, employé de librairie, correcteur de presse n'a volontairement occupé aucune fonction dirigeante. Sa trace reste pourtant profonde et il constitue une référence pour ceux qui ont lutté et luttent encore pour un syndicalisme émancipateur et libre. Autour de lui se sont regroupés les syndicalistes révolutionnaires quand il crée en 1909 la revue syndicaliste, La Vie ouvrière. Puis il réunit les tenants de l'internationalisme pendant la Première Guerre mondiale, les syndicalistes communistes en 1919. Enfin, dès 1924, il refuse le stalinisme comme le réformisme et fonde avec ses amis Alfred Rosmer, Robert Louzon, Maurice Chambelland, Ferdinand Charbi, La Révolution prolétarienne. Cette biographie éclaire tout un pan de l'histoire du mouvement ouvrier. Mais révèle aussi l'histoire d'un homme. Ce portrait nous permet, en effet, d'échapper à la vision stéréotypée que l'on a le plus souvent du militant ouvrier. Grâce à la richesse des sources réunies par Colette Chambelland, on peut retracer, à côté de l'itinéraire militant, l'itinéraire intellectuel d'un homme de grande culture. [4e de couv.].Sujet - Nom de personne: Monatte, Pierre, 1881-1960 Sujet - Nom commun: Syndicalisme Sujet - Forme: 1273Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres |
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Archives contestataires
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Marc Vuilleumier | R 0863 | Prêt restreint | 4472 |
Bibliogr.
Pierre Monatte (1881-1960) occupe une place à part dans le mouvement ouvrier français. Ce fils d'un maréchal-ferrant de la Haute-Loire, pion, employé de librairie, correcteur de presse n'a volontairement occupé aucune fonction dirigeante. Sa trace reste pourtant profonde et il constitue une référence pour ceux qui ont lutté et luttent encore pour un syndicalisme émancipateur et libre. Autour de lui se sont regroupés les syndicalistes révolutionnaires quand il crée en 1909 la revue syndicaliste, La Vie ouvrière. Puis il réunit les tenants de l'internationalisme pendant la Première Guerre mondiale, les syndicalistes communistes en 1919. Enfin, dès 1924, il refuse le stalinisme comme le réformisme et fonde avec ses amis Alfred Rosmer, Robert Louzon, Maurice Chambelland, Ferdinand Charbi, La Révolution prolétarienne.
Cette biographie éclaire tout un pan de l'histoire du mouvement ouvrier. Mais révèle aussi l'histoire d'un homme. Ce portrait nous permet, en effet, d'échapper à la vision stéréotypée que l'on a le plus souvent du militant ouvrier. Grâce à la richesse des sources réunies par Colette Chambelland, on peut retracer, à côté de l'itinéraire militant, l'itinéraire intellectuel d'un homme de grande culture. [4e de couv.]
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