Simple militant [Brochure] / Maurice Jaquier
Langue : français.Publication : Paris : Les Lettres nouvelles : Denoël, 1974Description : 356 p. : couv. ill. ; 20 cmCollection: Dossiers des lettres nouvelles, 38Résumé : Il s'agit du journal politique d'un militant de base, qui a vécu - au jour le jour - en pleine conscience et en pleine action les principaux événements de notre temps. Né à la vie politique lors du 6 février 1934, il participe aux grèves de 36, au Front populaire, puis c'est la guerre d'Espagne, où s'affermissent ses convictions et ses expériences. Sous l'Occupation, il est bien entendu clandestin, et condamné à la prison à trois ou quatre reprises : la Santé, Fresnes, Montluc d'où, chaque fois, il s'évade. À la Libération, il s'inscrit au Parti communiste, dans un souci d'efficacité ; sept mois plus tard, il en sort en claquant les portes. Son activité sera désormais surtout syndicale. L'éclatement de mai 1968 le remplit d'espoir. Dans les dernières pages, il tente de donner les problèmes avec simplicité, bon sens et justesse. Maurice Jaquier mêle les événements de sa vie privée et ceux de l'Histoire. Des uns et des autres, il parle avec le même bonheur simple, la même droiture, la même émouvante sincérité. [4e de couv.].Sujet - Nom de personne: Jaquier, Maurice, 1906-1976 Sujet - Nom commun: Militantisme | 20e siècle Sujet - Nom géographique: France Sujet - Forme: 1273Type de document | Site actuel | Collection | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres |
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Marc Vuilleumier | R 1058 | Prêt restreint | 4820 |
Il s'agit du journal politique d'un militant de base, qui a vécu - au jour le jour - en pleine conscience et en pleine action les principaux événements de notre temps. Né à la vie politique lors du 6 février 1934, il participe aux grèves de 36, au Front populaire, puis c'est la guerre d'Espagne, où s'affermissent ses convictions et ses expériences. Sous l'Occupation, il est bien entendu clandestin, et condamné à la prison à trois ou quatre reprises : la Santé, Fresnes, Montluc d'où, chaque fois, il s'évade. À la Libération, il s'inscrit au Parti communiste, dans un souci d'efficacité ; sept mois plus tard, il en sort en claquant les portes. Son activité sera désormais surtout syndicale. L'éclatement de mai 1968 le remplit d'espoir. Dans les dernières pages, il tente de donner les problèmes avec simplicité, bon sens et justesse. Maurice Jaquier mêle les événements de sa vie privée et ceux de l'Histoire. Des uns et des autres, il parle avec le même bonheur simple, la même droiture, la même émouvante sincérité. [4e de couv.]
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